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Qui suis-je vraiment ?

Né à Cholet en 1994, j'ai toujours vécu dans les Mauges en y faisant toute ma scolarité, conclue par les obtentions d'un Baccalauréat Economique et Social et d'un BTS Management des Unités Commerciales. J'ai ensuite fait un saut d'un an à Nantes pour valider avec mention ma Licence Professionnelle Chargé de Clientèle Particuliers. En alternance durant ma troisième année d'étude, j'ai fait le choix de mettre un pied dans le monde professionnel en intégrant une agence dans la même ville. Par la suite, je suis revenu dans le bassin choletais pour y faire deux missions en tant qu'assistant clientèle bancaire. Après une bonne remise en question personnelle et professionnelle, mon choix s'est porté sur une réorientation avec un changement de métier à la clé. Partir sur la voie de l'assistanat commercial m'a permis de trouver un métier plus en adéquation avec mes compétences. Néanmoins, les produits bancaires restent toujours pour moi un sujet attrayant. Aujourd'hui, je suis Gestionnaire Administration des Ventes sur Angers. 

D'un point de vue personnel, je n'ai jamais été un grand lecteur ni un fan des rédactions. Ma passion était et est encore aujourd'hui le basket. Petit, en plus d'aller voir les matchs de Cholet Basket et de jouer moi-même, j'aimais me créer de petites histoires qui, malheureusement, n'ont jamais eu de fins. J'avais quelque peu mis cette activité de côté pendant ma pré-adolescence. Scolairement, rien ne me poussait à reprendre l'écriture. Jusqu'au jour où, en Seconde, nous devions écrire un poème. C'était une tâche assez banale en apparence, pourtant dans ma tête j'ai pris du plaisir à écrire ces quelques lignes. Ce poème en classe a donné des petits sur mon temps personnel. De ça, a découlé mon envie d'écrire des poèmes sur la vie en général, sur des sujets en particulier ou même sur des thèmes plus personnels. "Droit au cœur" est le résultat de tous ces années de réflexion et de retranscription. Par la suite, je me tentais à écrire d'autres choses, le roman apparaissait pour moi comme une suite logique dans ma démarche d'écriture. Mes deux dernières années de lycée ont représenté le temps qu'il m'a fallu pour composer "Adieu, Madame Violence". Le texte publié est une amélioration de ma première vraie histoire menée à son terme. 

Que ce soit des histoires ou des poèmes, écrire me plaisait. Ayant un goût pour la réflexion sur des sujets pour ensuite les mettre par écrit, "Sujets d'actualités : pensées ou vérités ?" est né, étant le résultat des douze sujets sur lesquels j'ai choisi de travailler. J'avais beau avoir envie d'écrire sans pouvoir m'arrêter, je doutais de mon travail. L'écriture a toujours été une activité que je faisais dans mon coin, avec la peur d'avoir honte quand des personnes pourraient lire mes textes. C'est pour cette raison que je continuais toujours un peu à écrire sans pour autant croire en mes chances de devenir un jour un auteur "reconnu". Pour moi, reconnu signifiait que mes textes seraient lus par plusieurs personnes. Peut-être que beaucoup jugeront cet objectif ridicule mais je vous assure que je ne prétendais pas à mieux à ce moment-là. Ma conjointe et mon meilleur ami ont réussi à me faire mentir et à me donner la confiance de faire lire mon texte à d'autres personnes. C'était "Sans Domicile Fixe", projet que je porte encore aujourd'hui, qui m'a permis de pouvoir croire en moi. A l'heure actuelle, je continue à composer mes textes et à mener activement mes futurs projets en espérant avoir la chance de vous les faire découvrir un jour. En mars 2019, j'ai sorti mon dernier projet, "Hadji Pile ou Face" qui est un court roman traitant de l'adoption et de malformation cardiaque.

Tous mes textes ne deviendront pas des livres. Pourtant si en plus de lire vous écrivez de votre côté, n'hésitez pas à faire confiance à vos proches ou à des inconnus si vous avez peur du jugement. Hier, personne n'imaginait que je puisse écrire de manière récurrente. Aujourd'hui, l'écriture est devenue une passion pour laquelle je continue à repousser les limites afin de découvrir encore plus de choses. Demain ? Je ne sais pas encore, nous verrons ce que les mois ou les années à venir me réservent.

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